Crédit:

Richard La Baie Vitrée ou source inépuisable de la littérature

Faire de la littérature, c’est remonter le temps et revisiter le passé dit-on ! Né le 25 mai 1998 à Moundou, la ville rose du Tchad, NEDOUM ALLAHEL Richard, connu sous le pseudonyme de Richard La Baie Vitrée est un étudiant à l’Université de Ngaounderé et de Dschang en cycle Master dans les deux universités en Droit des affaires. Il est poète, romancier et éditeur.
L’écrivain est à la fois un défenseur et éclaireur dans la sphère littéraire. Il a un pouvoir évocateur et son champ d’influence est considérable. Chemin faisant, le génie littéraire de cet écrivain l’a amené à côtoyer de grandes personnalités et écrivains de renom. Sa conception de la littérature reste un outil d’éducation et de sensibilisation le plus efficace. Auteur de plusieurs ouvrages notamment, le chemin de l’exil, la sève muette de nos racines, la mort à fleur de peau, le fleuve de mes amours, il prépare actuellement, la sortie d’un roman qui a pour titre  »l’Afrique Couchée ». NEDOUM ALLAHEL Richard ou Richard La Baie Vitrée dirige les éditions COLIBRI, basées au Tchad et au Cameroun. Il a co-fondé le Centre d’initiation à l’art oratoire, de formation et d’accompagnement (CIAFA), qui œuvre dans la formation aux techniques de prise de parole en public, à l’animation des ateliers d’écriture. Pour le compte de cette année, le Centre a eu à former, plus de 250 jeunes, aussi bien des Tchadiens, et d’autres nationalités. Pour ce jeune écrivain engagé, être auteur ou poète, c’est être capable de semer autour de soi, des ondes positives. Il a toujours été animé par les choses de l’esprit, depuis le collège. Un véritable déclic, c’est opéré en lui quand il entra à l’Université. Ses premières sources d’inspiration reste le Tchad et le Logone. C’est dans le Logone, qu’il a appris à connaître la valeur des mots, que ceux-ci sont des branches d’arbres, sur lesquels, on peut s’accrocher, quand on est mordu par les vicissitudes de la vie. Les écrivains de référence de ce féru de la littérature restent, le Congolais, Alain Mabanckou, les Tchadiens, Nimrod Bena et Djimasde Honoré. Il doit mon amour à la chose littéraire, à son père. Enseignant de son état, il ne cessait de lui acheter des livres. Ce qui, d’une manière ou d’une autre, à eu un certain effet sur notre jeune écrivain. NEDOUM ALLAHEL Richard, rien que pour le compte de l’année 2022, il a rédigé 10 préfaces des jeunes qui ont de l’amour, pour la chose littéraire. Ses différentes œuvres sont disponibles aux Éditions Colibri, aux Éditions Intelligence Littéraire, et bientôt, sur Amazon. Abordant de manière générale les différentes thématiques dans ses œuvres, l’auteur précise qu »elles traitent des questions existentielles. Des problématiques liées à l’amour, à l’environnement, à la liberté des peuples, à la politique, au chômage, au viol, à l’impunité, à la femme, à la famille, à la réappropriation de notre histoire plurielle, fondatrice de notre identité et se dit constamment en quête d’écriture du silence. Les livres se vendent au prix de 3000 f, pour répondre à la capacité du pouvoir d’achat, du lecteur moyen. Pour ce qui est des futurs projets, il envisage une caravane de formation en écriture, dans les différentes provinces du pays, et de la création d’un concours d’écriture des collèges et lycées du Tchad. En outre, la mise sur pied d’une bibliothèque. Notre aspirant écrivain a également un projet d’écriture collectif, avec le poète Nimrod Bena et la publication de deux de ses œuvres, en novembre ou décembre 2022. C’est l’émergence littéraire qui est en marche avec nos jeunes écrivains talentueux, espoir d’une Afrique meilleure et prospère !

Étiquettes
Partagez

Auteur·e

leblogdeamine

Commentaires